15 novembre 2008
6
15
/11
/novembre
/2008
13:05
Sous les vents de Neptune / Fred Vargas. Viviane Hamy, 2004 (J'ai lu). 442 pages
Une jeune fille assassinée par trois coups de poinçon, un ivrogne qui ne se souvient de rien mais que tout accuse... Pour le commissaire Adamsberg, il n'y a aucun doute : le passé refait surface. Le tueur au trident est de retour. Celui-là même qui avait poignardé la fiancée de Raphaël, le frère du commissaire, des années plus tôt dans leur contrée natale des Pyrénées.
Seul hic : l'homme est mort depuis vingt ans...
Une jeune fille assassinée par trois coups de poinçon, un ivrogne qui ne se souvient de rien mais que tout accuse... Pour le commissaire Adamsberg, il n'y a aucun doute : le passé refait surface. Le tueur au trident est de retour. Celui-là même qui avait poignardé la fiancée de Raphaël, le frère du commissaire, des années plus tôt dans leur contrée natale des Pyrénées.
Seul hic : l'homme est mort depuis vingt ans...
Merci à Karine :) pour ce prêt involontaire. Emportée dans sa fièvre marcheuse, elle a oublié son achat dans mon sac à dos et est repartie sans...
Je ne sais pas si Karine avait acheté consciemment cet épisode car il se déroule en partie au Canada et, je m'interroge sur son opinion quant à cette vision des locaux et des échanges entre les 2 "brigades". Mais peut être nous donnera-t-elle un jour son avis :-D
En toute honnêteté je ne suis pas une accroc de Fred Vargas - pour preuve, je n'ai pas lu tous ses romans - mais, j'aime, dès que j'en ai l'opportunité, me plonger dans ses histoires et son commissaire, si humain tout comme son équipe, est toujours agréable à retrouver.
Ce roman est l'occasion de découvrir des pans de l'histoire de notre commissaire ainsi que des membres du commissariat. Les relations humaines sont toujours intéressantes et le plaisir de la lecture est toujours là, malgré quelques moments de flottements :
- J'ai deviné dès sa rencontre avec Noëlla l'impact qu'elle allait avoir dans cette histoire donc un peu de déception.
- Son histoire avec Camille, même distillée au compte goutte et qui s'explique, tombe un peu comme un cheveu sur la soupe. Comme par hasard elle est au Canada, comme par hasard elle revient en France au moment où il ne faudrait pas (peut-être que les raisons sont expliquées dans un autre roman et que Danglard n'y est pas étranger, mais pfttt cela se combine trop bien pour le récit sans explications pour le lecteur. Tout simplement est-ce moi qui cherche midi à quatorze heure...).
A côté de cela j'ai adoré retrouver Clémentine, et le personnage de Josette est réellement un beau portrait de vieille dame "indigne". Rien que pour elles, pour la virée canadienne , le plaisir de lire ce vocabulaire plein de vie et celui de retrouver ce taiseux de commissaire, ces balades et son esprit comme sa maladresse font que cette lecture reste néanmoins un bon moment.
L'histoire elle-même de ce juge, de sa force dans son parcours et de son esprit si tortueux donne toute son originalité à cet épisode. Chapeau bas pour les références : titre, jeu, ... (je ne puis en dire plus sans trahir ce roman). Elle montre bien, si cela était encore nécessaire, la force de caractère d'Adamsberg, son entêtement dans la résolution de cette enquête, sa quête de la vérité.
Je ne sais pas si Karine avait acheté consciemment cet épisode car il se déroule en partie au Canada et, je m'interroge sur son opinion quant à cette vision des locaux et des échanges entre les 2 "brigades". Mais peut être nous donnera-t-elle un jour son avis :-D
En toute honnêteté je ne suis pas une accroc de Fred Vargas - pour preuve, je n'ai pas lu tous ses romans - mais, j'aime, dès que j'en ai l'opportunité, me plonger dans ses histoires et son commissaire, si humain tout comme son équipe, est toujours agréable à retrouver.
Ce roman est l'occasion de découvrir des pans de l'histoire de notre commissaire ainsi que des membres du commissariat. Les relations humaines sont toujours intéressantes et le plaisir de la lecture est toujours là, malgré quelques moments de flottements :
- J'ai deviné dès sa rencontre avec Noëlla l'impact qu'elle allait avoir dans cette histoire donc un peu de déception.
- Son histoire avec Camille, même distillée au compte goutte et qui s'explique, tombe un peu comme un cheveu sur la soupe. Comme par hasard elle est au Canada, comme par hasard elle revient en France au moment où il ne faudrait pas (peut-être que les raisons sont expliquées dans un autre roman et que Danglard n'y est pas étranger, mais pfttt cela se combine trop bien pour le récit sans explications pour le lecteur. Tout simplement est-ce moi qui cherche midi à quatorze heure...).
A côté de cela j'ai adoré retrouver Clémentine, et le personnage de Josette est réellement un beau portrait de vieille dame "indigne". Rien que pour elles, pour la virée canadienne , le plaisir de lire ce vocabulaire plein de vie et celui de retrouver ce taiseux de commissaire, ces balades et son esprit comme sa maladresse font que cette lecture reste néanmoins un bon moment.
L'histoire elle-même de ce juge, de sa force dans son parcours et de son esprit si tortueux donne toute son originalité à cet épisode. Chapeau bas pour les références : titre, jeu, ... (je ne puis en dire plus sans trahir ce roman). Elle montre bien, si cela était encore nécessaire, la force de caractère d'Adamsberg, son entêtement dans la résolution de cette enquête, sa quête de la vérité.