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19 juin 2012 2 19 /06 /juin /2012 06:47

http://static.decitre.fr/media/catalog/product/cache/1/image/9df78eab33525d08d6e5fb8d27136e95/9/7/8/2/2/5/3/1/9782253162490FS.gifSorry / Zoran Drvenkar. Traduit de l'allemand par Corinna Gepner. Le Livre de Poche, 2012. 496 pages

Berlin. Tamara, Frauke, Kris et Wolf se sont connus au lycée. Dix ans plus tard, ils ont l’idée de monter une agence, nommée Sorry, chargée de s'excuser à la place des autres. Le succès est immédiat, ils aident des hommes d'affaires qui estiment s'être mal comportés, un associé ou une entreprise à alléger leurs remords à l’égard de leurs victimes… Jusqu'au jour où un mystérieux assassin désireux de soulager sa conscience recourt aux services du quatuor. Ce sera le début d'une longue descente aux enfers. Pris au piège, les quatre amis n'auront d'autre solution que de découvrir au plus vite l'identité et les mobiles de ce tueur qui les manipule et semble parfaitement les connaître. 

 

Ce livre m'a terriblement dérangé dès les premiers chapitres, dès la scène d'exécution. J'ai beau lire pas mal de polar, thriller de toute facture,cette scène couplée à un style tantôt indirect, tantôt direct, des têtes de chapites intitulé "avant", "après" furent sans doute un tout pour faire que je ne parvenais guère à accrocher. Ce sentiment s'est rapidement confirmé avec des scènes de pédophilie qui m'ont fait irrémédiablement dire que ce livre n'était vraiment pas pour moi.

Comme je suis curieuse, que j'avais initialement trouvé la thématique intéressante et cette construction d'écriture étrange, j'ai néanmoins poursuivi ma lecture.

Alors, oui ce roman est pétri d'idées, d'un style à part, et d'embroglios qui ne m'ont pas empêché de deviner qui était au volant du dernier véhicule que nous suivrons, dès la disparition d'un des membres du quatuor, mais vraiment le sujet de la pédophilie me gêne tellement que je ne peux recommander cet ouvrage en dépit de ses qualités. Pourtant il aborde de nombreux thèmes en parallèle de ce thriller de manière posée et intelligente, relatifs justement aux dérives sexuelles, à ce qu'endure les enfants et à leurs souffrances psychologiques, mais lorsque l'on me parlera de ce livre, je ne penserais qu'à une seule chose qui joue au détriment de ces qualités, qui peuvent, elles aussi, perdrent certains lecteurs.

 

Quelques avis : Virginie, Biblioblog,

 


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5 avril 2011 2 05 /04 /avril /2011 21:36

http://www.decitre.fr/gi/16/9782843375316FS.gifLe goût des pépins de pomme / Katharina Hagena. Roman traduit de l'allemand par Bernard Kreiss. Editions Anne Carrière, 2010. 268 pages. 4*

A la mort de Bertha, ses trois filles, Inga.
Harriet et Christa, et sa petite-fille, Iris, la narratrice, se retrouvent dans leur maison de famille, à Bootshaven, dans le nord de l'Allemagne, pour la lecture du testament. A sa grande surprise, Iris hérite de la maison et doit décider en quelques jours de ce qu'elle va en faire. Bibliothécaire à Fribourg, elle n'envisage pas, dans un premier temps, de la conserver. Mais, à mesure qu'elle redécouvre chaque pièce, chaque parcelle du merveilleux jardin qui l'entoure, ses souvenirs se réveillent, reconstituant l'histoire émouvante, parfois rocambolesque, mais essentiellement tragique, de trois générations de femmes.
Katharina Hagena nous livre ici un grand roman sur le thème du souvenir et de l'oubli.

 

Belle histoire que ce roman nous narre à travers la voix d'Iris qui démèle pour nous les fils du passé : histoire de ses grands-parents, de ses parents et de ses tantes. Le trait d'union ? Cette maison et les pommiers qui les entourent, mais pas seulement.... c'est toute la nature environnante à qui Katharina Hagena rend une certaine forme d'hommage, mais également les petits riens de l'existence, le quotidien de deux cousines et d'une amie qui participent à leurs jeux, au déguisement dans cette maison où tout est conservé, mémoire collective.

Cette mémoire qui, suite à une chute (est-ce vraiment la cause ?), se perd pour Bertha ; elle oublie sa vie d'antan, son présent, petit à petit ne sait plus, ne reconnait plus ses filles, pas plus qu'elle ne se souvient à quoi sert une paire de chaussette, pour finalement oublier à quoi sert de respirer. Cela pourrait être triste, mais c'est simplement le fil de la vie qui s'égrène devant nous, au fur et à mesure qu'Iris, elle, se remémore, les instants passés dans cette maison : heureux ou non. Qu'elle ordonne pour nous les faits, le passé de sa mère, de ses tantes, découvrant / redécouvrant ce qu'on lui a tu, caché ou simplement ce qu'elle ignorait du fait de son statut de benjamine de la famille.

Mais la mort et l'abandon de cette maison ne sont pas à eux seuls une fin, c'est également une renaissance pour Iris grâce à tout ce chemin. Des retrouvailles avec son enfance qu'elle avait enfouie depuis le décès de sa cousine, si proche et parfois si lointaine. La vie continue et avec elle, la vie de cette famille.

Un rien de tristesse vite dissolue par une histoire habilement menée qui nous entraîne à sa suite et qui m'a permis de me sortir provisoirement de ma panne de lecture. J'avais envie de savoir, non pas la chute qui me semblait évidente, mais le pourquoi/ comment de la mort de Rosemarie, sa cousine. C'est ce dernier fil conducteur qui nous mène et nous entraîne avec Iris sur les pas de sa famille.

Les descriptions sont belles à mes yeux et des petits gestes du passé m'ont parlé ; les souvenirs sont là, ou les faits du présent tout simplement. Et vous comment mangez-vous les pommes ? Dans ma famille, et plus particulièrement ma soeur, jusqu'au trognon... :-D Et oui, l'auteur n'a rien inventé, des contemporains le font encore....

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12 octobre 2010 2 12 /10 /octobre /2010 21:42

http://www.decitre.fr/gi/11/9782246765011FS.gifQuand souffle le vent du nord / Daniel Glattauer. Traduit de l'allemand par Anne-Sophie Anglaret. Bernard Grasset, 2010. 348 pages. 4*

Un message anodin peut-il bouleverser votre vie ? Leo Leike reçoit par erreur un mail d'une inconnue, Emmi Rogner.
Poliment, il le lui signale. Elle s'excuse et, peu à peu, un dialogue s'engage, une relation se noue. Au fil des mails, ils éprouvent l'un pour l'autre un intérêt grandissant. Leo écrit : " Vous êtes comme une deuxième voix en moi qui m'accompagne au quotidien. " Emmi admet : " Quand vous ne m'écrivez pas pendant trois jours, je ressens un manque. " Emmi est mariée, Leo se remet à grand-peine d'un chagrin d'amour.
De plus en plus attirés l'un par l'autre, Emmi et Leo repoussent néanmoins le moment fatidique de la rencontre...

 

Alors là, je me retrouve dans une situation que je n'apprécie guère. Dans les limbes de ma mémoire, je savais que ce roman avait suscité des passions et je n'ai pas hésité une seconde lorsque Fashion a gentiment mis son exemplaire à ma disposition.

Le risque est, toujours le même, lorsqu'on entend parler de quelque chose, de parfois être déçue tant l'attente au vu des éloges est important ! Et me voici dans la situation présente. Ce livre possède de nombreuses qualités, cela je ne peux le nier, mais j'en attendais tellement que j'ai tourné la dernière page un tantinet déçue. Moralité : Ta mémoire de poisson rouge tu entretiendras, les ouvrages encensés seront oubliés dans un coin pour l'année au moins et enfin tu pourras, quasi vierge (ouais je sais ça n'existe pas) le prendre, exempté de tous les éloges entendues.

Bon et si je vous en disais quelques mots - dans le cas où votre connexion internet aurait été coupé pendant plus de 6 mois !

Ce livre écrit sous une forme épistolaire renouvelle ce style par une écriture totale d'échanges d'e-mails. Oui cela existe par ailleurs mais l'histoire est une histoire de sentiments qui vont naîtrent entre les deux protagonistes par le biais d'une erreur dans le libellé de l'adresse e-mail. Partie du mauvais pied, la correspondance va progressivement devenir un échange de tout et de rien, avant que Leo et Emmi prennent réellement conscience de l'attirance qu'ils éprouvent l'un pour l'autre, mais sans jamais se rencontrer. Au jeu du chat et de la souris ils passent maître. Leur plume est leur voix, leurs mots sont leur esprit et leur séduction. 

Mais tous deux ne sont pas libres. Leo sort d'une histoire d'amour à rebondissements mais vouée à l'échec et, Emmi se complet dans son idéal familial qui lui sert d'armures contre les sentiments de Leo comme des siens. Pour leur échapper, elle joue la carte de la bonne copine qu'elle juge idéale pour Leo. Mais comme vous vous en doutez, la jalousie pointe rapidement son nez. Jalousie car son amie, en accord avec Leo (nous l'apprendrons rapidement) refuse de lui donner des détails tant sur Leo, que sur leurs échanges.

En basculant du quotidien aux sentiments dans ces échanges, avec une plume alerte mais contemporaine, Daniel Glattauer a su charmer ses lecteurs. En suscitant l'attente, l'espoir de la rencontre, il nous fait patienter, nous laisse à bout de nerfs alors que nous n'attendons qu'une chose : LA RENCONTRE. Mais la vie étant ce qu'elle est, et les acteurs de cet échange (et plus particulièrement Emmi) ayant peur de se confronter au réel, de voir leur imaginaire s'écrouler ou plus simplement leur quotidien, les empêchements se bousculent, et le temps passe. Jusqu'à ce qu'une tierce personne intervienne ....

Une belle histoire d'amour mais pas que et ... (je n'ai pas résisté je suis allée lire la dernière page à mi-parcours, mais je ne savais pas qui parler).


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2 mai 2010 7 02 /05 /mai /2010 20:20

http://www.decitre.fr/gi/99/9782020962599FS.gifLe poisson mouillé / Volker Kutscher. Traduit de l'allemand par Magali Girault. Seuil, 2010 (Policiers). 566 pages

Berlin, mai 1929.
La ville est en pleine ébullition et la police a du mal à être sur tous les fronts à la fois - combats de rue entre forces de l'ordre et communistes, criminalité grandissante et night-clubs clandestins. Et puis il y a ce cadavre repêché au fond du canal et dont personne ne semble connaître l'identité. Sauf Gereon Rath, qui l'a croisé quelques jours avant sa mort. Ce jeune commissaire originaire de Cologne qui travaille pour la brigade des moeurs brûle de résoudre seul cette affaire dans l'espoir d'être intégré à la Criminelle.
Car cette enquête risque de rejoindre les dossiers des affaires classées non élucidées appelées "les poissons mouillés". Ce roman, le premier d'une série mettant en scène le commissaire Gereon Rath, dresse un fascinant portrait politique et social du Berlin des années vingt avec ses aspirations contradictoires - rêve de régime autoritaire ou soif de dissipation.

 

Un polar, oui mais un polar où l'histoire tient une place non négligeable !

C'est un véritable coup de chapeau que je souhaite donner à ce roman, car l'enquête faite de chausse-trapes (même si certains sont plus ou moins évidents) est également fort intéressante par son contexte historique. Jamais je n'avais eu l'opportunité de lire ce type de roman se déroulant entre les deux guerres en Allemagne.

Quelle période ! Toute l'amertume de la défaite transperce dans les personnages rencontrés par le héros, dans la confrontation entre le nationalisme, la fierté prusienne, le respect des conventions et la montée du communisme en cette période de pré-dépression - même si en cette année 1929, l'Allemagne, comme les autres pays européens n'est pas encore touchée par la crise qui se déclenchera quelques mois à la fin de cette histoire. Déjà, on sent que tout est en place et on comprend (en partie, car sinon cela serait trop simple, et l'humanité ne repéterait pas, ad eternam, ses erreurs) comment les événements vont trouver un terrain fertile à la montée du totalitarisme.

La complexité de l'ouvrage ne réside pas seulement dans ces faits, mais également dans la vie personnelle du héros : le commissaire Gereon Rath, dont la famille fut touchée intimement par la Guerre 14-18, par des incompréhensions légitimes et filiale. Et oui ce n'est pas seulement à un gentil héros bien lisse auquel nous sommes confrontés, mais à un tournant personnel et celui de tout un peuple.

L'auteur nous plonge dans le commissariat de Berlin et décrit le "Château fort" (c'est le nom qui lui est donné par tous) avec force détails intéressants et qui pique la curiosité. Il en est de même pour les lieux décrits : les quartiers plus ou moins bien fréquentés, restaurants, vie quotidiennne : des détails certes mais qui sont immiscés avec brio sans couper ou gêner la lecture. Mais si j'en juge la lecture de connaisseurs de Berlin, l'énumération peut lasser :( à moins que le charme du livre n'est, simplement, pas opéré.


Pour ma part, je reste sur une très bonne impression en dépit de tout et remercie Suzanne de ChezLesFilles ainsi que les Editions du Seuil.


L'avis de Serialecteur avec d'autres liens pouvant mesurer mes propos ;-D

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11 janvier 2010 1 11 /01 /janvier /2010 23:38
http://www.decitre.fr/gi/22/9782253060222FS.gifVingt-quatre heures de la vie d'une femme / Stefan Zweig. Roman traduit de l'allemand avec une introduction par Olivier Bournac et Alzir Hella. Révision de Brigitte Vergne-Cain et Gérard Rudent. Le Livre de Poche, 1993. 127 pages
Scandale dans une pension de famille " comme il faut ", sur la Côte d'Azur du début du siècle : Mme Henriette, la femme d'un des clients, s'est enfuie avec un jeune homme qui pourtant n'avait passé là qu'une journée...
Seul le narrateur tente de comprendre cette " créature sans moralité ", avec l'aide inattendue d'une vieille dame anglaise très distinguée, qui lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimé chez la fugitive. Ce récit d'une passion foudroyante, bref et aigu comme les affectionnait l'auteur d'Amok et du Joueur d'échecs, est une de ses incontestables réussites.

Néophyte de Stefan Zweig, sachez que cet auteur est facile à lire, qu'il a écrit bien des pages en dehors d'Amok, Le joueur d'échecs ou Lettre d'une inconnue. Bref j'aurais pu choisir un titre moins connu, mais cet ouvrage est tombé par hasard dans ma PAL, et je n'en éprouve nul regret, même si Tamara a suscité ma curiosité en parlant d'oeuvres moins connues. Un jour lorsque ma PAL sera plus sereine et que je n'aurais pas une demie douzaine d'ouvrages empruntés, j'irai dans ma bibliothèque de quartier (merci à elle d'être fermée en ce moment :s).
Comment ne pas se laisser happer par ce court récit dans lequel  on retrouve des thématiques chères à l'auteur : un texte enchâssé (bah oui fallait bien que je le place celui là car il plaît ;-), le jeu, la passion, ...
Zweig sait à merveille nous captiver avec ce que l'on pourrait extérieurement juger des riens. Laissez-vous gagner par sa description des mains des joueurs, qui s'animent sous vos yeux, douées de personnalité, qui vous fascinent vous hypnosent grâce à la "narration" de Mrs C...
Combien de fois avez-vous entendu dire que vos mains (votre attitude, position des membres) vous trahissaient lors des entretiens ? Mais quand elles prennent vie, quand leur ballet exprime toute votre personnalité, cela tourne au tour de force.
Bien entendu toute l"histoire ne repose pas sur elles, car c'est avant tout de la passion, des bouleversements humains dont il est question dans ce livre. Comment 24 heures de votre existence peuvent-elles à tout jamais la changer ? 24 heures c'est tellement peu dans notre vie et pourtant...

Le narrateur ayant choisi de ne pas juger la décision de Mme Henriette, la société bien comme il faut quant à elle ne peut s'empêcher de jeter un regard critique sur cette femme et sur son choix ; désormais elle est une de ces femmes, "des natures de gourgandine" (à opposer à des femmes dignes de ce nom).
Cette attitude fait qu'une vieille dame anglaise va lui narrer sa mésaventure survenue plus de vingt ans auparavant : les vingt-quatre heures qui ont modifié sa vie. Son expérience lui permet de montrer combien peu de choses peuvent changer le cours de votre existence et comment le regard d'autrui pèse sur la suite de votre existence, chacun étant enclun à vous juger rapidement et facilement lorsque vous n'entrez plus dans les cases ou dans l'image que tout un chacun avez de vous. Mais grâce à son âge, elle sait, a appris et n'a plus peur, et est désormais prête à expliquer pourquoi elle sait grée au narrateur de s'être opposé à la vindicte des biens pensants.
"(...) Vieillir n'est, au fond, pas autre chose que n'avoir plus peur de son passé. (...)"

Les avis de Karine :), Lilly,
Zweig toujours, Amok par Mango, Emeraude à propos de La confusion des sentiments,

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15 septembre 2008 1 15 /09 /septembre /2008 22:00
Le joueur d'échecs / Stefan Zweig. Traduction de ?. Stock, 117 pages (La Cosmopolite). 2007
Prisonnier des nazis, Monsieur B., en dérobant un manuel d'échecs, a pu, à travers ce qui est devenu littéralement une folle passion, découvrir le moyen d'échapper à ses bourreaux. Libéré, il se retrouve plus tard sur un bateau où il est amené à disputer une ultime partie contre le champion Czentovic. Une partie à la fois envoûtante et dérisoire...
Quand ce texte paraît à Stockholm en 1943, Stefan Zweig, désespéré par la montée et les victoires du nazisme, s'est donné la mort l'année précédente au Brésil, en compagnie de sa femme. La catastrophe des années quarante lui apparaissait comme la négation de tout son travail d'homme et d'écrivain. Le joueur d'échecs est une confession à peine déguidée de cette désespérance.
Oui je sais je devrais avoir honte de ne pas avoir lu cet auteur depuis longtemps, qui plus est que bon nombre de bloggeurs en parlent sur leurs sites, au cours de nos rencontres etc.
Voilà mon erreur réparée et je suis enchantée par cette lecture et par l'écriture de Zweig. J'ignore si je trouverai autant de plaisir lors de mes prochaines découvertes de ses oeuvres, mais vraiment cette lecture fut véritablement à part. Sa briéveté y est-elle pour quelque chose ? Je l'ignore et vous confirmerez mes impressions lorsque je renouvellerai mon approche de Stefan Zweig.
Tout est réellement admirablement décrit et imaginé. Quant au parallèle souligné par la préface entre les idéaux de Zweig et la place du nazisme destructrice, il est tout simplement impressionnant.

L'avis de
Majanissa.

Je suis déçue par cette collecetion agrémentée d'illustrations mais qui ne fait référence ni à l'illustrateur, ni au traducteur. Quelqu'un a une explication ? (Si informations complémentaires, la mise en ligne sera faite. Merci)
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