17 juin 2009
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Paris, 1909. La tour Eiffel est en bois blanc, les sirènes se baignent dans la Seine, des farfadets se promènent dans le bois de Vincennes… et une ligne de métro relie la ville à l’OutreMonde, le pays des fées, et à sa capitale Ambremer.
Louis Denizart Hippolyte Griffont est mage du Cercle Cyan, un club de gentlemen-magiciens. Chargé d’enquêter sur un trafic d’objets enchantés, il se retrouve impliqué dans une série de meurtres. L’affaire est épineuse et Griffont doit affronter bien des dangers: un puissant sorcier, d’immortelles gargouilles et, par-dessus tout, l’association forcée avec Isabel de Saint-Gil, une fée renégate que le mage ne connaît que trop bien...
A notre réalité historique, Pierre Pevel saupoudre l'imaginaire le plus large qui soit. Aux faits réels, au quotidien il nous entraîne dans un monde tour à tour féérique et réel, maquillant habilement, parfois un peu plus lourdement, ce début du XXème siècle.
Forces descriptions sont parfois un peu lassante de prime abord : toutes ces jeunes femmes sont si belles, élancées mais néanmoins avec des rondeurs et un sourire.... que parfois je me suis demandée où j'avais mis les pieds, je l'avoue. Le nombre des personnages, un semblant de divagation dans l'imbriquement des histoires m'a fait craindre de m'y perdre et me lasser, mais les chapitres défilaient et je me laissais prendre au jeu.
Isabel de Saint-Gil, matinée d'un semblant d'Arsène Lupin pour son astuce, ses "serviteurs" et ses escapades nocturnes, semble parfois être le pendant de l'Arsène diurne, gentleman incarné par Louis Denizart Hippolyte Griffont.
Comme je le signalais les affaires s'emmèlent, les animaux fabuleux et l'histoire du monde féérique s'écrit en parallèle de celui de nos ancêtres.
Bien entendu les méchants personnages sont présents, d'une noirceur non équivoque, et l'on imagine bien que le mal ne peut triompher face à nos deux héros et à l'énergie dépensait par leur entourage dont les 3 compères des brigades du Tigre. Oui c'est bien du Commaissaire Valentin, de Pujol et de Terrrasson dont je parle :-D qui vous adressent un petit clin d'oeil via la plume de l'auteur. Certains n'y verront que niaiseries, pour ma part le sourire fut au rendez-vous.
Ce n'est peut être pas le livre de l'imaginaire le plus mémorable mais j'ai néanmoins passé un bon moment en compagnie de tous ces personnages, et j'attendais avec impatience de connaître la chute de cet imbroglio, ce qui m'a permis de ne pas lacher ce roman avant la dernière page.
Forces descriptions sont parfois un peu lassante de prime abord : toutes ces jeunes femmes sont si belles, élancées mais néanmoins avec des rondeurs et un sourire.... que parfois je me suis demandée où j'avais mis les pieds, je l'avoue. Le nombre des personnages, un semblant de divagation dans l'imbriquement des histoires m'a fait craindre de m'y perdre et me lasser, mais les chapitres défilaient et je me laissais prendre au jeu.
Isabel de Saint-Gil, matinée d'un semblant d'Arsène Lupin pour son astuce, ses "serviteurs" et ses escapades nocturnes, semble parfois être le pendant de l'Arsène diurne, gentleman incarné par Louis Denizart Hippolyte Griffont.
Comme je le signalais les affaires s'emmèlent, les animaux fabuleux et l'histoire du monde féérique s'écrit en parallèle de celui de nos ancêtres.
Bien entendu les méchants personnages sont présents, d'une noirceur non équivoque, et l'on imagine bien que le mal ne peut triompher face à nos deux héros et à l'énergie dépensait par leur entourage dont les 3 compères des brigades du Tigre. Oui c'est bien du Commaissaire Valentin, de Pujol et de Terrrasson dont je parle :-D qui vous adressent un petit clin d'oeil via la plume de l'auteur. Certains n'y verront que niaiseries, pour ma part le sourire fut au rendez-vous.
Ce n'est peut être pas le livre de l'imaginaire le plus mémorable mais j'ai néanmoins passé un bon moment en compagnie de tous ces personnages, et j'attendais avec impatience de connaître la chute de cet imbroglio, ce qui m'a permis de ne pas lacher ce roman avant la dernière page.
L'avis (très négatif) de SBM, qui m' a fait rire, et qui revient sur certains points évoqués ci-dessus.