19 avril 2008
6
19
/04
/avril
/2008
18:45
This is not a love song / Jean-Philippe Blondel. Robert Laffont, 2007. 212 pages
Volontairement je ne mets pas de liens vers tous ceux qui en ont parlé, car je sais qu'il est aisé de les retrouver.
A ceux qui ne l'ont pas lu, ma seule recommandation sera de prendre votre temps. J'espère que comme moi, vous l'ouvrirez un jour et en ressortirez ravie et la gorge un peu nouée...
C'est toujours pareil. Il suffit que l'on me rabatte les oreilles avec un bouquin (idem pour les films ; non je n'ai pas encore vu Les ch'tis, pas plus que je n'ai vu Kate Winslet et Leonardo au cinéma) pour que je fasse ma moue, et me fasse prier pour les lire. Si je ne l'ai pas décidé par moi même, pas de précipitations...
Mais parfois j'ai réellement de très bonnes surprise et je ne peux que remercier à haute et intelligible voix Caro[line] qui a décidé de me prêter son exemplaire dédicacé. En sa compagnie, j'avais croisé Monsieur Blondel au Salon du livre et je garde un excellent souvenir des quelques phrases échangées. Cela ne m'avait pas décidé pour autant à lire son livre, me direz-vous ? Et bien non comme d'habitude, j'ai fait ma têtue (et j'avoue quelques autres lectures en attente). Voilà l'erreur est réparée, et je comprends à présent l'enthousiasme chez certains.
Ce roman m'a plu à plus d'un titre. D'abord pour le style que j'ai trouvé facile (non ce n'est pas péjoratif, loin de moins cette idée, mais selon les auteurs vous accrochez ou non). Je me suis très vite intéressée à son personnage principal et à ses remises en question par rapport à son retour chez ses parents.
Se juxtapose à mon sens 2 idées : les relations familiales, au sens élargie du terme car c'est aussi au niveau des amis "intimes" que l'on perçoit les échanges ou les non dits, la capacité, la facilité à discuter de tout, de rien, de choses plus ou moins importantes selon le regard que nous y posons.
- Le regard dans le rétroviseur que nous faisons parfois sur notre vie, sur nos aspirations, et les regrets que nous avons parfois mais qui ne doivent pas nous empêcher d'avancer.
Bref à plus d'un moment ce roman m'a parlé - et ce n'est pas qu'une figure de style, un peu facile -.Mais parfois j'ai réellement de très bonnes surprise et je ne peux que remercier à haute et intelligible voix Caro[line] qui a décidé de me prêter son exemplaire dédicacé. En sa compagnie, j'avais croisé Monsieur Blondel au Salon du livre et je garde un excellent souvenir des quelques phrases échangées. Cela ne m'avait pas décidé pour autant à lire son livre, me direz-vous ? Et bien non comme d'habitude, j'ai fait ma têtue (et j'avoue quelques autres lectures en attente). Voilà l'erreur est réparée, et je comprends à présent l'enthousiasme chez certains.
Ce roman m'a plu à plus d'un titre. D'abord pour le style que j'ai trouvé facile (non ce n'est pas péjoratif, loin de moins cette idée, mais selon les auteurs vous accrochez ou non). Je me suis très vite intéressée à son personnage principal et à ses remises en question par rapport à son retour chez ses parents.
Se juxtapose à mon sens 2 idées : les relations familiales, au sens élargie du terme car c'est aussi au niveau des amis "intimes" que l'on perçoit les échanges ou les non dits, la capacité, la facilité à discuter de tout, de rien, de choses plus ou moins importantes selon le regard que nous y posons.
- Le regard dans le rétroviseur que nous faisons parfois sur notre vie, sur nos aspirations, et les regrets que nous avons parfois mais qui ne doivent pas nous empêcher d'avancer.
Volontairement je ne mets pas de liens vers tous ceux qui en ont parlé, car je sais qu'il est aisé de les retrouver.
A ceux qui ne l'ont pas lu, ma seule recommandation sera de prendre votre temps. J'espère que comme moi, vous l'ouvrirez un jour et en ressortirez ravie et la gorge un peu nouée...